De l’intérêt et de l’importance d’évaluer les PCAET au moment où s’engage la territorialisation de la planification écologique

[Changement climatique]
Les EPCI, qui ont mis en oeuvre leurs plans climat-air-énergie territoriaux (PCAET), sont tenus de réaliser un rapport à mi-parcours, c’est-à-dire au bout de trois ans. Cette évaluation est d’autant plus importante qu’elle intervient au moment où la planification écologique se territorialise en régions.

Ainsi, cette évaluation contribue à :

  • Garantir la cohérence et la complémentarité de la planification aux niveaux régional et local
  • Mesurer les progrès réalisés et les écarts à combler par rapport aux objectifs fixés
  • Identifier les leviers, les freins, les opportunités et les risques liés à la mise en œuvre des PCAET
  • Mobiliser tous les acteurs du territoire (collectivités, entreprises, citoyens, associations, etc.) dans la transition écologique
  • Valoriser les bonnes pratiques et les solutions innovantes.

Parmi les freins à la réalisation de cette évaluation des PCAET par les EPCI : ils sont parfois délaissés face à plusieurs autres niveaux de plans et actions liés à la transition écologique, l’absence de données, le manque de culture de l’évaluation et de ressources internes.

Notre conseil pour cette évaluation : appuyez-vous sur des méthodes rigoureuses, des outils performants… et pourquoi pas des partenaires spécialisés dans l’évaluation des politiques publiques et des transitions écologiques.